Créée en 2003, Sopi a défriché les ressorts des comportements des populations d’origine étrangère. Nous avons accompagné plus de 20 entreprises du SBF 120 dans ses campagnes de marketing et de communication. Plusieurs fois primés, nous sommes les experts reconnus des questions identitaires.
Dès 2008, Sopi a intégré la notion d’affinités à son approche. L’auto-identification, les passions sont au centre d’une démarche visant à prioriser ce que les cibles valorisent le plus, ce pour quoi elles sont disposées à s’engager. Notre capacité à les mobiliser est au coeur de notre offre de transformation digitale.
L’avènement des réseaux sociaux a généré un essor inédit des communautés. Parallèlement, Sopi s’est spécialisée dans l’utilisation d’outils permettant d’animer des communautés de pratiques ainsi que dans la conception d’organisations décentralisées avec la Blockchain.
A sa pratique historique des outils de communication globale, Sopi ajoute une démarche inédite de co-construction communautaire. Si la règle d’or des réseaux sociaux « give to get » y est toujours valable, chaque outil, qu’il soit open source ou non, installé par l’animateur des communautés ou héberger par une entreprise tiers, doit apporter des fonctionnalités complémentaires en fonction des objectifs.
Pour cela, il importe de cadrer l’ambition dès le départ et d’annoncer à la communauté quelles seront les règles de fonctionnement (code de conduite, licences d’exploitation des résultats co-créés), les modalités de participation et l’exploitation finale de la valeur créée. Ensuite, il convient de penser un espace d’arrivée, sorte de salon de discussions thématiques (slack, rocketchat, etc.) permettant aux membres d’une communauté de se rencontrer, de discuter et de faire émerger une culture de collaboration commune.
L’étape suivante sera l’accompagnement de ces groupes vers d’autres outils dont les fonctionnalités sont alors complémentaires. Co-créer du contenu sur un wiki (mediawiki) poser des questions ou y répondre sur un Q&A (stack over flow ou Question2Answer) et ainsi articuler connaissance et consensus.
Outil de discussion et d’interaction par chaines thématiques paramétrables entre les membres d’une communauté. Cet outil sert d’espace d’échange sous forme de chat et doit être animé par des modérateurs et des documentalistes. Il est important de bien accueillir, intégrer et guider chaque nouvel arrivant vers les bons canaux de discussion thématique, soit en leur laissant le moyen de créer leurs comptes seuls, soit en les invitant par email. Le modérateur anime les échanges et veille à ce que chacun trouve sa place et que personne ne devienne agressif ou insultant (en général, un code de conduite est associé pour garantir des échanges en bonne intelligence), le documentaliste suit les discussions et rédige une synthèse à la fin de chaque discussion qu’il partage avec la communauté (en général sur un outil de documentation tiers). Enfin, ces outils peuvent être intégrés avec des outils tiers venant automatiquement poster sur les chaines choisies les notifications importantes tant dans un sens que dans l’autre. Un outil fare qu’on retrouve dans la majorité des projets collaboratifs permettant aux communautés de communiquer.
Nombre de ces espaces ne sont pas ouverts par défaut. Cependant, certains projets comme echOpen ou epidemium (programme d’open science de recherche contre le cancer) possèdent un slack ou rocketchat permettant à la communauté de se retrouver et discuter.
A l’origine, un outil pour informaticiens leur permettant de partager du code et d’y travailler de manière collaborative tout en assurant à la fois le contrôle de source et la création de versions pour chaque objets stocké dans cet espace. Aujourd’hui, de nombreux projets l’utilise pour collaborer et suivre les avancées d’un projet en partageant les sources et les ressources et connectant les contributeurs ensemble qui peuvent aussi bien contribuer, commenter, discuter, documenter et suivre les avancées de chaque membre de la communauté. Cet outil est utilisable pour co-écrire des documents, un livre, des manuels mais aussi développer des logiciels ou des matériels en partageant des documents tant techniques que de contenu ou créations graphiques. Pour animer la collaboration il est important d’avoir une équipe dédiée qui peut veiller au bon déroulement du projet et assurer une bonne organisation et compilation de l’information en confirmant l’ajout des contributions selon des procédures bien définies. L’API de ces outils permet de partager dans les deux sens (depuis et vers) des flux d’information avec d’autres outils. Cet outil est utilisé par presque tous les projets open source et collaboratifs logiciels. Le code civil français totalement en ligne sur GitHub. Plus de 2 500 personnes suivent ce projet sur la plate-forme Github. Le site www.opensource.guide possède tout son contenu sur Github permettant ainsi à tous ceux qui le souhaitent de contribuer.
C’est l’outil utilisé par l’encyclopédie en ligne Wikipedia. Il permet de revoir des contributions tant textes que fichiers (image, documents ou tables de données) grâce à la création de pages et la connexion de celles-ci entre elles créant ainsi de multiples cheminement d’exploration des contenus. Il est important pour bien démarrer d’installer des bases solides de contenus et d’annoncer les modalités de contributions (objectif du wiki) tout en veillant à ce que les animateurs et ceux qui maintiennent ce commun puissent viser ou réviser les contributions et ainsi assurer leur juste emplacement au sein de l’ensemble des apports pour créer un tout cohérent. De nombreux pulls-ins existent ajoutant des fonctionnalisés d’intégration avec d’autres outils. Le plus connu des usages de cet outil est sans nul doute l’encyclopédie Wikipedia Le language Python, l’un des plus utilisé dans le domaine de la science des données pour coder les algorithmes possède un wiki complet (https://wiki.python.org/moin/) permettant d’être à la fois un guide d’installation et d’utilisation autant qu’un support de contributions permettant de maintenir la documentation auprès de la communauté des développeurs du language et des utilisateurs.
Sorte de suite d’outils de bureautique en ligne permettant la co-création et la co-rédaction de textes, de présentations et de tableurs de calcul et le stockage de fichiers partagés. Ces outils permettent à la fois à des communautés de créer des fichiers, des documents, etc. Mais aussi de les commenter, de les annoter et de les faire circuler pour diffuser les contenus. Comme tout autre outil de co-création de contenu, il est important de bien veiller à avoir à la fois une organisation et des des règles simples mais précises et des personnes assurant l’animation et le maintien de l’information pour assurer une bonne navigation mais aussi les bonnes pratiques de contribution. Ces outils s’utilisent via les navigateurs internet ou via des applications dédiées utilisables tant en ligne qu’en local. Interconnectable avec d’autres outils pour créer des écosystème et assurer la bonne diffusion des informations et une collaboration optimisée. Les règles de nommage des fichiers et les templates sont essentiels pour assurer le succès de l’utilisation de ces outils et assurer que chaque contributeur puissent intégrer le groupe et apporter une réelle valeur à l’ensemble. Enfin, ces environnement complets de collaboration intègrent des fonctionnalités (via des plug-ins) de discussion permettant d’ajuster le propos en temps réel si besoin.
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